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Articles by Roxanne Robbins

De lourdes charges

Un homme âgé m’a vue transporter avec peine une lourde boîte de ma voiture jusqu’au bureau de poste. Plutôt que de laisser son âge, son épuisement marqué ou la grosse chaleur le faire reculer, il s’est empressé de m’aider.

Un Père tendre

Alors que je passais par une période difficile et remettais en question la bonté et les soins de Dieu, plusieurs croyants sont venus m’apporter leur soutien. Ils m’ont aidée à admettre l’existence de mes problèmes tout en évitant de m’attarder sur eux. Ils m’ont dirigée vers l’Écriture, ont prié pour moi et ont fait en sorte que mes besoins soient comblés. Leur compassion m’a aidée à vivre le doux amour du Christ (De 32.2). Au lieu de me juger à cause de ma faible foi, mes confidents ont prouvé que « [l’ami] aime en tout temps, et dans le malheur il se montre un frère » (Pr 17.17).

Assez pour partager

Il y a eu un temps où, chaque soir durant trois années consécutives, mon fils Wasswa et moi accueillions douze petits invités à notre table en Ouganda. Avant cette période, les enfants passaient souvent des journées entières sans nourriture. Ils ont commencé à venir à notre maison lorsqu’ils ont entendu dire que nous les nourririons. Plusieurs de ces garçons et filles, certains n’ayant que trois ans, marchaient environ huit kilomètres pour se rendre à notre maison. Je les ramenais donc chez eux chaque soir.

La guerre

Le journaliste Jeffrey Gettleman a affirmé : « Une raison bien simple explique le fait que certaines des guerres les plus sanglantes et les plus brutales d’Afrique ne semblent jamais se terminer : il n’y a pas réellement de guerres… Les combattants ne sont pas tenants d’une idéologie ; ils n’ont pas de but précis… J’ai été témoin, et parfois de beaucoup trop près, de combats soldat contre soldat (désormais rares en Afrique) se transformant en soldat contre civil. »

Abondance

L’autre jour, j’ai emmené mon fils à une cage de frappeurs de baseball et j’ai payé pour 8 séries de 20 lancers. À notre surprise, lorsque le tour s’est terminé, les balles ont continué à venir. La machine fonctionnait mal, ce qui a eu pour résultat de livrer une abondance de lancers. Cela m’a rappelé la fois où la fille de 5 ans d’un ami s’est réveillée et a dit : « La nuit dernière, j’ai fait le plus beau des rêves. J’étais sur la plage et plus de jouets que je n’aurais jamais espéré posséder se sont échoués sur la plage pour moi ! »

Demandez de la sagesse

Après l’université, j’ai oeuvré dans un ministère sportif pendant plusieurs années durant lesquelles je me suis nouée d’amitié avec quelques athlètes professionnels et olympiques. Au cours de la dernière année, j’ai discuté avec ces amis, et ils m’ont tous expliqué qu’après s’être retirés de la compétition, ils avaient eu de la difficulté à savoir quoi faire de leur vie.

Des loisirs et des potins

Une femme s’est livrée à un nouveau passe‑temps. L’activité elle‑même était saine, mais cette femme et mère dévouée n’a pas tardé à négliger sa famille et ses amis, et même sa marche avec Dieu.

Récolte de générosité

En Afrique de l’Est, j’ai appris qu’il en faut peu pour être efficace. Par exemple, mes collègues et moi sommes capables de nourrir 20 enfants ougandais pour beaucoup moins d’argent que ce qu’il faut pour nourrir 20 enfants aux États-Unis.

Grâce immérité

Au début de ma marche avec le Seigneur, un ami m’a dit que, lorsque je comprendrais mieux à quel point je ne méritais pas la grâce de Jésus, je l’apprécierais davantage. Plusieurs années plus tard, je repense encore à son exhortation lorsque, à l’occasion, je cesse de reconnaître mes péchés et mon besoin désespéré d’un Sauveur et que je me demande si je n’aurais pas droit à un traitement spécial en raison de mes « bonnes oeuvres ».

Lorsque donner n’aide pas

Les enfants de la rue peuplent la plupart des intersections de Kampala, la capitale de l’Ouganda. J’en connais beaucoup par leur prénom, et quand je suis prise dans un embouteillage, ils se rassemblent régulièrement autour de ma voiture pour parler et rire avec moi.